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samedi 10 septembre 2011

on marchera sur un lien

Ici c'est l'épreuve, ça fait mal, et on n'y comprend rien. On marchera sur un lien qui n'en finit pas de mourir et de revenir. Parfois, presque soudain, on croira s'arrêter, on sentira que quelque chose s'est éveillé fort, reconnecté, mais on ne tiendra pas longtemps, on découpera, et on recoudra, encore... On ne saura jamais où c'est, cet ici, où souvent c'est bien.

Délire, lien et Care. Néolithique et perte du lien, et sans doute le XXè siècle est-il le pic du néolithique, presque synchrone du pic du pétrole, mais c'est peut-être un hasard. De ce lien primordial, quelle nature, quelle rupture ? Pour cette douleur, quel Care ? Médecine et Nature, évidence ou oxymore ? Au coeur de l'épreuve, quelle métaphysique ? Et cette pulsion de mort, essence ou construction, ou dé-liaison  augustinienne ?

soumission des textes: achille.watergut@gmail.com


comité de lecture:
Certeau, de, Michel (marcheur)
Deleuze, Gilles (nomade)
Nietzsche, Friedrich (râleur)
Pessoa, Fernando (buveur)


1. L'évidement de l'objet et la perte du lien: la tentative scientifique et l'écriture de l'histoire



4. la nature de ce lien brisé vous reste plus qu'énigmatique, sa rupture une hypothèse gratuite, mais, déjà, des pistes pour le rétablir: Care et Karuna

5. quelle est la déliaison de l'Alzheimer

6. les systèmes complexes relèvent-ils de l'immunologie ? la mort

6. vers l'arrachement:  l'empreinte, le réel et l'insecure

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